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Pendant ce temps là, les médecins et spécialistes se font toujours rares à La Nouvelle-Orléans. La ville, qui comptait quelque 485.000 habitants avant l’ouragan, n’aurait aujourd’hui récupéré qu’à peine la moitié de sa population originelle. « Le système de soin s’est écroulé : il ne reste que le minimum, dit Catherine Lasperches. Depuis la fermeture de l’hôpital de la Charité , on n’a plus les moyens de faire de la médecine préventive. Aujourd’hui par exemple, on ne peut plus faire de colonoscopie. Des psychiatres, des othorino-laryngologistes sont très difficiles à trouver. »
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