lundi 16 avril 2007

Des Harleys et des hommes




On repart vers La Nouvelle-Orléans dans le soleil couchant. A Slidell, on s’arrête dans un autre magasin Harley Davidson. Pourvu qu’ils ne vendent pas des strings avec des ailes ! J’ai du mal à me déplier, je crois que j’ai du mal à apprécier les rassemblements de motards. Les considérations sur le design et les chromes me gonflent autant que celles sur les parfums et les crèmes de jour.

En face, heureusement, des Japonais vendent des sushi. Je veux inviter Dave qui le prend mal. C’est une insulte, je suis une invitée spéciale de France. Si je travaillais pour un magazine, je serais sans doute la journaliste la moins chère du marché !
Mickey a essayé d’appeler le cellulaire de Dave. Je le rappelle. Mickey veut juste s’assurer que tout va bien pour moi, que je n’ai pas été kidnappée, que je ne suis pas en compagnie d’un serial-killer. Je transmets son message à Dave : « Thanks for not being a serial-killer ».

Ça me fait marrer, mais je suis touchée que mes nouveaux amis soient aussi attentionnés.

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